samedi 30 septembre 2017

Notre épopée au Cameroun : l'aventure continue à Yaoundé

7 septembre

Dernier petit dej' et on charge la voiture que Nicky nous a trouvée. Les sœurs nous ont préparé des sandwichs pour la route : des sandwichs aux œufs (sous forme d'omelette) et d'autres aux sardines. On s'arrête à l'évêché dire au revoir à l'évêque. Mais... à quel moment a-t-on cru qu'on ne serait que 5 dans cette voiture ?! On emmène aussi une sœur avec nous. Rebelote, on "bache" à 4 à l'arrière. On commence à avoir l'habitude. Yaoundé, nous voila ! 

5h plus tard... on arrive dans les bouchons de Yaounde. On se fait arrêter pas un policier qui demande nos pièces d'identité (mais qui ne s'inquiète pas que l'on soit 4 à l'arrière, sans ceinture et surchargés). On continue notre route à travers la ville. La circulation est infernale comme d'habitude (voir pire). On arrive chez Maman Thérèse par une piste en terre orange. Il y a une couche de poussière sur tout ce qui est autour : les petites baraques, les étales, les voitures, et les gens qui sont la depuis trop longtemps. Cédric (un neveu d'Armand) et Annick (la fille de Thérèse) nous attendent. Cédric sera notre guide. Annick nous fait visiter la maison et nous installe dans nos chambres. On a un peu de temps pour préparer la réunion avec l'association OPEN Cameroun (l'Observatoire de la presse étrangère et nationale) à 18h. On est accueilli par un petit comité : M. Hervé Moudourou en costume-cravate, le secrétaire exécutif d'OPEN (actuellement conseiller a la présidence, rien que ça), Jean Claude géographe et politiste, coordinateur de OPEN, Brice un jeune journaliste responsable communication, Gustave un jeune informaticien webmaster de OPEN, Audrey historienne et conseillère des programmes pour OPEN, Juliette au "communication departement" et Nadia responsable des finances de OPEN. Chacun se présente et présente son association puis on échange autour de différentes questions. C'est quand même une autre échelle : c'est une grosse association qui fait des actions au niveau national (par exemple un concours d’innovation inter-universitaire au Cameroun) mais l'échange très intéressant.
On rentre manger en famille... du poisson et du manioc.


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